Pour conclure cette période les élèves de madame Parant ont, en une matinée, préparé
des croquemonsieurs/ frites/ salades et une salade de fruits.
Simple, efficace et savoureux. Les élèves en ERE ont installé des compositions
de fleurs séchées.
Merci pour ce beau travail.
La ministre de l'Éducation nationale Élisabeth Borne
en visite dans deux collèges de Nogent-le-Rotrou
L'ancienne Première ministre Elisabeth Borne, aujourd'hui ministre d’État, ministre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, était en visite, ce vendredi 10 janvier, au collège Louis-Arsène-Meunier à Nogent-le-Rotrou, première étape de sa visite percheronne.
Par Bérénice Poulin et Stéphane Marchand
Publié le 10 janvier 2025 à 14h06 • Mis à jour le 10 janvier 2025 à 20h26 •
L'ancienne Première ministre Elisabeth Borne, aujourd'hui ministre d’État, ministre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, était en visite, ce vendredi 10 janvier, au collège Louis-Arsène-Meunier à Nogent-le-Rotrou.
La visite d’Élisabeth Borne en Eure-et-Loir vient de démarrer à Nogent-le-Rotrou, par son arrivée au collège Louis-Arsène-Meunier. Cette visite s'inscrit dans le cadre de l’entrée en vigueur depuis la rentrée des groupes de besoin mis en place en français et en maths pour les 6e et 5e, dans le cadre du “choc des savoirs”.
Ces groupes de besoin, qu'on peut assimiler à des groupes de niveau et qui s'adressent aux élèves des classes de 6e et de 5e en français et en mathématiques, constituent l'une des mesures importantes de la réforme des collèges, initiée fin 2023 par Gabriel Attal sous le vocable de "choc des savoirs".
Concrètement, la nouvelle ministre de l’Éducation nationale découvre ce vendredi 10 janvier après-midi un groupe de besoins mis en place par l’équipe pédagogique du collège Arsène-Meunier avant de pouvoir échanger, justement, avec cette équipe.
La ministre de l’Éducation nationale a fait le tour des 22 élèves de 6e réunis entre îlots de quatre ou cinq. Elle leur a posé des questions sur leurs exercices de maths, et s’est même prêté à l’un des exercices. Ces élèves font partie d’un groupe de bon niveau.
Elle s’est entretenue avec Marine Germond, la professeure de mathématiques qui encadre les élèves. Cette dernière lui a parlé des bénéfices des groupes de niveau, tels que l’effectif réduit, les classes de 6e comptant 30 élèves au collège Louis-Arsène-Meunier. Elle lui a aussi fait part des désavantages de ce dispositif : Lorsqu’on a en face des élèves en difficulté, c’est compliqué. On doit les accompagner chacun de manière intense. Réunir tous les élèves en difficulté dans le même groupe est compliqué à gérer. »
Elisabeth Borne est aussi passée dans une classe d’un groupe de dix élèves en difficulté, classé dans laquelle la presse n’était pas admise.
Peu avant la visite, dans le couloir, Elisabeth Borne a eu le droit à un bain de foule d’élèves. Des élèves ont tapé sur la porte de leur classe, attirant l’attention de l’ancienne Première ministre. Elle est entrée dans la classe, ce qui n’était pas prévu dans le programme. « Madame, on peut prendre une photo ? »